Premiers bords de « CIAO GIANNI »
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Jacky SETTON ne cachait pas sa satisfaction lors des premières navigations en baie de Quiberon de son nouveau bateau construit par MULTIPLAST. 10 nœuds au près, grand-voile haute et solent par plus de 20 nœuds de vent : performances, capacité à faire du cap au vent et raideur à la toile sont au rendez-vous, mais aussi et surtout un immense plaisir de naviguer sur un bateau aussi esthétique que simple à manœuvrer par une ou deux personnes.« CIAO GIANNI » est désormais déquillé, démâté et chargé sur le camion qui va le transporter jusqu'à Saint-Tropez où une équipe de MULTIPLAST va intervenir pour le remonter. Les derniers réglages et vérifications seront effectués en baie de Saint-Tropez avant de rejoindre son port d'attache. « CIAO GIANNI » est à n'en pas douter un bateau exceptionnel.

Mise à l'eau du "SETTON 60"
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MULTIPLAST, chantier réputé pour ses grands multicoques transocéaniques, vient de mettre à l'eau à VANNES le dernier projet de Jacky SETTON.Ce monocoque de 60 pieds baptisé « CIAO GIANNI » en hommage à Gianni AGNELLI est conçu pour le plaisir de naviguer à la journée en solitaire. Il succède à un autre day Sailor « TOMTIT » (petite mésange noire en anglais) en hommage cette fois à Eric TABARLY.

Jacky SETTON, fervent amateur de bateaux et de créations, a déjà laissé une large empreinte dans le paysage de la grande plaisance avec des unités remarquables telles que « SIMSON S », remorqueur de haute mer transformé, « SENSES », yacht d'exploration, ou « PIONNER », l'un des premiers ULDB.

Brit Air réalisé par Multiplast, champion du monde
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En terminant second du Vendée Globe et avec également une place de deuxième dans la Transat anglaise - Armel Le Cléac'h a emmené son monocoque 60 pieds Imoca Brit Air sur la plus haute marche du podium du championnat du Monde Imoca. Ce résultat est obtenu grâce à une gestion en marin de ses courses et à un bateau d'une grande fiabilité.

Armel Le Cléac'h : "... Brit Air a été à la hauteur de nos attentes. Nous avions opté pour un bateau simple et fiable. Il l'a été. A l'arrivée du Vendée Globe, beaucoup se sont étonnés de l'état quasi neuf du bateau, hormis l'usure normale. Pourtant il avait presque deux tours du monde sous la quille. Et sur la dernière ligne droite, dans le Golfe de Gascogne